Les parcs et jardins
La Ville dispose de nombreux espaces verts aménagés :
En 1850, Emile Thivel, industriel, acquiert une propriété située à l’entrée Est de Tarare. Il construit une maison bourgeoise et aménage un parc privé magnifiquement arboré avec notamment des cèdres du Liban.
En 1986, la Ville loue sept hectares afin d’y créer un parc public.
En 1991-92, elle aménage des cheminements, une roseraie, installe un kiosque, des bancs, l’éclairage…
Un sentier botanique, constituant un support pédagogique (panneaux indiquant le nom et l’origine des végétaux) est fléché en 2004.
On y trouve aussi des animaux comme des biches, des daims, des chèvres, des moutons et quelques oies. Ce parc constitue un site remarquable par sa dimension, ses 160 espèces végétales (dont 3 ou 4 nouvelles chaque année), sa liaison directe avec les hauts de Tarare et sa proximité immédiate du centre.
Avec une superficie de 7 hectares, le parc Thivel situé entre la rue Radisson et le Boulevard du Commandant Thivel, constitue une bouffée d’oxygène à proximité du Centre Ville.
Le sentier botanique
La nature y dévoile tous ses charmes, l’occasion pour vous de prendre le temps de le découvrir ou redécouvrir, au gré de promenades instructives.
Petite leçon de botanique, au fil du sentier
Vos balades familiales pourront être l’occasion de promenades pédagogiques.
Des petits panneaux d’information sont au pied des conifères, arbres d’ornement et arbustes.
Une façon ludique et conviviale pour apprendre à mieux connaître la nature qui nous entoure. Les informations, gravées sur des plaques de bois, afin de respecter le cadre environnant, mentionnent le nom latin, le nom commun, la famille et l’origine des espèces. Cette première étape est un support intéressant pour de nombreux projets, et pourra, dans l’avenir, être complétée par de véritables parcours pour des cours de sciences naturelles plus vrais que nature.
Au fil du sentier botanique, laissez-vous guider et découvrez ces espèces, parfois venues de contrées lointaines, aux noms étranges, drôles ou enchanteurs.
Avec une superficie de 3 800 m², le square Aristide Briand est situé à proximité de la salle des Fêtes et de la Gare. Il est doté d’espaces gazonnés ombragés par des arbres, d’un jeu pour les petits, de bancs publics et il est équipé de toilettes publiques.Destiné à la promenade, la Ville crée un jardin d’agrément avec plantation d’arbres, d’arbustes, de pelouses et construction d’un bassin-réservoir traversé en son milieu par un joli petit pont. Ce bassin abrite de nombreux poissons rouges d’où le surnom “le parc des poissons ».
Des améliorations sont apportées en 1989 avec la remise en état des cheminements et de la clôture, ainsi qu’avec l’aménagement de bancs, de jeux d’enfants…
En 2000, avec la construction de la salle des fêtes à proximité, il retrouve, avec ses 3,8 hectares, une seconde jeunesse… et ses poissons.
Au cours de la séance du conseil municipal de décembre 1946, le maire Maurice Bonnet propose la création d’un jardin public en centre-ville.
Il achète alors à Mme Odin un terrain de 4 750 m² très vite baptisé “parc Bonnet”. L’accès s’effectue par la place du Marché ou par la rue de l’Union (rue Albert Giron).
Après les travaux de l’îlot Burie, la mairie aménage le parc en 1973. Deux ans plus tard, des jeux, un jardin d’acclimatation, des volières sont installés. Une restructuration conduit à enlever les cages en 1988 et à édifier un kiosque un an plus tard.
Dans les années 2000, une nouvelle configuration des zones piétonnières et de circulation est dessinée pour améliorer l’environnement et la sécurité. Les espaces verts occupent alors 3 000 m².
Le vendredi 17 juin 2011 avait lieu l’inauguration officielle du parc Bonnet nouvelle génération. Celle-ci était précédée d’un challenge sportif qui a fait se rencontrer des enfants fréquentant le pôle éducation. Ils ont pu découvrir avec joie les quatre jeux électroniques Kompan. Tarare est la première ville française à accueillir tous ces équipements dans un même parc.
Ils auront aussi la possibilité de s’y arrêter et de s’y reposer, grâce aux nombreuses chaises dispersées dans tout le jardin.
La dalle, les piliers et les traverses métalliques ainsi que les citernes sont les témoins d’une activité industrielle textile passée, celles des établissements David et Maigret.
De 1967 à 2004, ce lieu a accueilli le marché couvert municipal. Une réorganisation complète du site lui attribue une nouvelle fonction, celle de jardin public d’une superficie de 1 130 m².
Il surplombe la nouvelle halle des marchés. Organisé par petites zones paysagères, il offre une diversité de végétation et de sol (gazon, graviers, bois…). La toiture s’apparente à une pergola. Son accès est réglementé par des horaires.
Garibaldi, le parc est ouvert au public lorsque les immeubles « Résidences du parc » sont construits en 1974.Il sert surtout de voie de passage pour les habitants du quartier car il relie directement l’allée des Marronniers et la route de Feurs au boulevard Garibaldi donc le plus court chemin pour rejoindre le centre-ville.
Dans les années 2000, des aménagements sont réalisés au clos Charvet particulièrement des aires de jeux pour enfants, un kiosque et un terrain de pétanque. Avec une superficie de un hectare, c’est un lieu de promenade au caractère champêtre agréable.
Cet espace de 400 m² marque l’entrée Ouest de la ville.
Ses massifs de fleurs annuelles, plantées sur fond de verdure, accueillent le visiteur tandis que quelques bancs disposés sous les arbres en pleine croissance, permettent au promeneur de s’arrêter.
En 2000, la place Maurice Berger est créée mais le nom usuel est square Maurice Berger.
En 1962, la Ville devient propriétaire d’une parcelle triangulaire à l’angle de la RN7 et du boulevard Garibaldi. Elle y crée un jardin d’enfants nommé “square du Vert Galant”.
En 1966, le site est clôturé et on y installe une aire cimentée pour le patin à roulettes, une pataugeoire, un bac à sable, des jeux divers, des massifs et un bloc sanitaire. Il subit une cure de jouvence en 1996 : des jeux plus contemporains et surtout conformes aux normes de sécurité sont implantés. Puis, pour répondre à la demande des adeptes du roller et du skate, un skate-park est inauguré dans l’enceinte en 1998. A la fin du siècle, ce square prend le nom d’Antoine Verrière.
Dans différents quartiers de la ville, les aires de jeux sont très appréciées. Certains jeux ont été renouvelés récemment, d’autres le seront prochainement comme au parc bonnet, une fois réaménagé. Ils prennent place, le plus souvent, au cœur d’un espace convivial permettant aux parents ou grand-parents de s’y retrouver.
L’entretien est régulièrement assuré par les services de la ville qui veillent au bon état des jeux et au respect de la réglementation en vigueur, et notamment aux sols amortissants pour davantage de confort et de sécurité.
Les éternels toboggans, perches, filets à grimper et jeux à ressorts ravissent toujours les enfants qui pourraient y jouer des heures durant…
- Les jeux du pigeonnier vers la gendarmerie, destinée aux 2-8 ans,
- L’aire la plaine destinée aux 3/8 ans
Le CML avec des jeux pour les 4/10 ans - Le square du Vert galand pour les 2/8 ans
- Les jeux de la plata pour les 2/6 ans
- L’espace du clos charvet destinée aux 2/6 ans tout récemment rénovée au coeur d’un site très agréable.
- L’espace du clos Charvet réservé aux 6/12 ans avec sa structure galaxy est fort apprécié.
Pour les plus grands
Des terrains multi-sports , les city-stades permettent aux ados d’évoluer en tout liberté : au pigeonnier et à la plata.